Y-at’il plus américain que la Dodge Charger RT de 1969 ? La symbolique est énorme, et à tous les niveaux. Le poids est énorme, la taille est énorme, la puissance est énorme, le couple est énorme, la cylindrée est énorme. La voiture est énorme ?
Regardez ce bestiau : juste incroyable. Et pas seulement parce que Vin Diesel s’en sert pour faire des wheelies dans Fast & Furious. Cette auto n’aurait pas pu exister ailleurs qu’aux USA ! Un V8 de 7 litres ??? On fait 3 moteurs en France avec ça. 665nm de couple ? Pour déplacer des maisons peut-être et une taille qui ne passe pas dans 75% des ruelles du coin. Non, cette voiture, c’est Uncle Sam qui dit « pousse toi, j’arrive. »
La fiche technique est choquante au premier et second degré.
Infos clé:
- Puissance et couple (+)
- Poids (-)
- Freinage et tenue de route (-)
- Style (+)
- Prix élevé en raison de la signification historique
Tout ce qui s’applique à la Camaro de 1979 est plus ou moins valable ici, même si la Charger part avec un moteur nettement plus sain. Elle peut compenser en faisant place à des pneus supercar-esques et une large panoplie de pièces, notamment compartiment moteur.
Comme la Camaro, elle préfère les grands espaces, les circuits américains en fait (Sebring, Road Atlanta) mais n’est pas ridicule quand il faut tourner, encore une fois en fonction de la monte pneumatique (et type de gomme) que vous lui choisissez. C’est un peu un muscle car couteau suisse, mais quoi que vous en fassiez, il fera toujours beaucoup de bruit !
Points forts:
- Icône américaine
- Démesure (look, puissance, taille)
- Moteur affolant
- Bruit
- Gros potentiel
- Démarre en classe D
Points faibles:
- Tenue de route ou tenue de cap ?
- Volant ou barre de navire ?
- Vite, une ligne droite !
Retrouvez les autres autos du pack LaFerrari en cliquant ici!